Contrairement aux carburants, les coûts environnementaux de la batterie d'un autobus électrique sont un événement unique. La batterie sera utilisée pendant environ 12 ans dans l'autobus et puis elle peut être déplacée pour fournir un stockage fixe pour soutenir la recharge des autobus. Cette seconde vie pourrait durer 10-20 ans. Volvo utilise d'anciennes batteries d'autobus pour le stockage solaire à Gothenburg.

Les batteries de véhicules électriques modernes sont très similaires aux batteries trouvées dans les téléphones cellulaires et autres appareils ménagers. La chimie la plus commune, lithium-ion, comprend des éléments communs tels que le lithium, le nickel et le cobalt. Le cobalt a une mauvaise réputation car beaucoup d'approvisionnement provient de zones de conflit et n'est pas exploité de manière responsable. Des mesures se prennent pour réduire la quantité de cobalt dans les batteries au lithium et certains autobus utilisent du lithium-FE qui n'a pas de cobalt. Tesla et Panasonic sont près d'éliminer le cobalt de leurs batteries.

Le Canada est riche en tous les métaux requis pour la production de la batterie, y compris le cobalt. Comme le prix de ces métaux augmente, la production canadienne devrait augmenter.

Contrairement aux batteries au plomb ou alcalines, les batteries au lithium ne sont pas toxiques et peuvent être éliminées dans un site d'enfouissement.  Le recyclage des piles est un secteur en développement et il est maintenant possible de recycler les batteries lithium-ion économiquement.

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